10*Pourquoi pas ailleurs : ou les infrastructures y sont , sans population ?

Vitesse moyenne des vents, à une altitude de 80 mètres

 

Source: Atlas canadien d’énergie éolienne, Environnement Canada

Aux réservoirs hydrauliques de Canniapiscau et LG4 la force des vents se chiffrent

À 9et 10 mètres secondes tout au haut de l’échelle….La faiblesse des vents est de moins que la moitié au bas de l’échelle au sud du fleuve , soit à 4 mètres / secondes ref. : atlas canadien de l’énergie éolienne.

Le devoir samadi le24mars et dimanche le 25 mars 2007 :

Québec a boudé un projet d'éoliennes de 4,5 milliards

La multinationale Siemens a finalement installé sa base industrielle nord-américaine en Iowa Le Québec a raté sa chance l'année dernière de voir un turbinier de calibre international s'implanter ici avec une usine consacrée au développement et à la production d'un nouveau modèle d'éoliennes nordiques. La multinationale allemande Siemens projetait en effet de construire cette usine au Saguenay-Lac-Saint-Jean, de même qu'un centre de recherche dans la région de Montréal, à proximité des grandes écoles d'ingénierie, dans le cadre d'un mégaprojet de 3000 MW dans le Grand Nord.

C'est ce qui ressort de la proposition soumise par Siemens le 20 avril 2005 . Ce projet aurait généré un investissement privé de 4,5 milliards de dollars et aurait produit neuf TWh, ce qui en faisait donc une véritable solution de rechange au détournement de la rivière Rupert, dont Hydro-Québec escompte tirer 8,5 TWh. Québec a finalement refusé d'aller de l'avant avec ce projet
. L'appel d'offres d'Hydro-Québec en éolien a été officiellement lancé le 29 juin suivant. Siemens n'y participera pas, selon nos sources. En août dernier, la multinationale annonçait la construction de sa base industrielle nord-américaine en éolien en Iowa

Mais surtout, la multinationale offrait à Québec de diminuer le coût de revient de l'électricité éolienne à 6 ¢ le kilowattheure, ce qui est inférieur au coût de 6,5 ¢ le kWh obtenu lors du premier appel d'offres de 1000 MW éoliens, en 2002.
»Cette meme année ,2002, d’ailleurs les Danois offrait un plan semblable qui n’aboutissait pas non plus ».
Le concept de leader nord-américain de l’énergie verte : qu’on entend fréquemment :

Ce projet, selon Siemens, aurait «confirmé la place du Québec comme leader nord-américain dans la production d'énergie verte», aurait généré des investissements de 4,5 milliards de dollars, aurait assuré pendant sept ans un minimum de 600 emplois directs en région ainsi que 2000 emplois permanents dans des secteurs connexes et aurait placé le Québec en tête de la production éolienne en Amérique du Nord.. Un premier parc, d'une puissance installée de 1200 MW, aurait été construit à la Manicouagan. Deux projets auraient suivi dans la région du réservoir LG-4 à la Baie-James, soit un premier de 1000 MW et un second de 800 MW. Les vents de ces deux régions atteignent les dix mètres à la seconde, ce qui aurait permis d'escompter un taux d'utilisation minimal de 35 %, soit parmi les plus élevés au monde. En raison du couplage de l'éolien avec les réservoirs d'Hydro-Québec, gérés comme une seule et même réserve d'eau, la multinationale allemande estimait que le potentiel éolien du Québec pouvait être haussé à des niveaux très élevés. : Rendu futile par son emplacement réographique sur la rive sud.

, le gouvernement souhaite qu’Hydro-Québec Productions n’y participe pas.
La faiblesse des vents est de moins que la moitié au bas de l’échelle au sud du fleuve , soit à 4 mètres / secondes ref. : atlas canadien de l’énergie éolienne.
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